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Né à Aigle (VS) le 19 juin 1927, Jacques MAY a étudié les Lettres à l'Université de Lausanne, où il a obtenu sa licence en 1949. Il part ensuite à Paris où il étudie le sanscrit, le tibétain et le Bouddhisme indien avec les plus grands noms de l'indianisme français.

En 1959, il publie sa thèse, unanimement saluée, consacrée au maître et philosophe indien Candrakīrti (Candrakīrti prasannapadā madhyamakavṛtti (Commentaire limpide au Traité du Milieu), Douze chapitres, traduits du sanscrit et du tibétain en français, et accompagnés d'une introduction, de notes et d'une édition critique de la version tibétaine), Paris 1959, Librairie d'Amérique et d'Orient Adrien-Maisonneuve.

Ayant appris le japonais, il part à Kyoto où il enseigne le Bouddhisme et le tibétain à l'Université (1962-1968).

En 1968, une chaire ad personam de philologie bouddhique est crée pour lui à l'Université de Lausanne. Il y enseigne le sancrit, le pāli, le tibétain et le chinois jusqu'à sa retraite en 1992.

Plusieurs de ses élèves feront des carrières brillantes, tant en Suisse qu'à l'étranger.

Sous ce lien, vous trouverez le long et bel article consacré à Jaques May par le professeur Vincent Eltschinger dans la revue Etudes Asiatiques 2019; 73(1) : 1-38

Sous ce lien, l'hommage publié par Mme Danielle Feller sur le site de la Faculté des Lettres de l'Université de Lausanne

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